lundi 15 avril 2013

Premiers jours à Bali

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Nous voici rendues à quelques mètres de notre 1er éden, dans un bungalow beaucoup plus rudimentaire :
pas d’eau chaude,
pas de clim mais nous ne l’utilisons pas,
pas de rangement,
moins de surface,
mais beaucoup plus authentique, plus balinais, plus simple et moins cher ! Car nous allons y rester un mois : le temps qu'Annabel finisse ses cours du CNED et que Sylvie vienne nous rejoindre pour 15 jours de ballade dans l'île.

Après avoir été à Padangbai dès le lendemain de notre arrivée, le lendemain nous nous promenons à pied à Candidasa et explorons les environs en quête d'un bungalow pas trop loin de la mer. Ils sont tous tellement alignés au bord de l'eau, qu'à force d'en visiter, on ne se rappelle plus où est quoi et la chaleur humide + le décalage horaire ne facilitent pas notre éclaircissement. 

Vendredi, ayant commandé un taxi, nous nous rendons à Amed, à 1h30 de Candidasa, plus à l'est. Là encore, le choix ne manque pas. Je revois Amed et son hôtel Amed Café où je me trouvais avec Bernard une année et demi auparavant, mais qui me semble bien tristounet sans lui et sans le soleil.

Finalement, en revenant de notre périple, notre chauffeur nous amène à une adresse que j'avais notée et qui, nous le découvrons, se trouve juste à côté de l'hôtel où nous sommes. C'est ainsi que nous arrêtons finalement notre choix sur ce dernier : Amarta Beach Bungalow.

Avant de découvrir ce nouvel endroit magique, voici quelques photos prises de notre ancien hôtel :
Hier, samedi, sous un ciel orageux et menaçant, pour mon 1er bain de mer :
Coucher de soleil à Candidasa

1er bain de mer

Et ce matin, avant notre départ de l’hôtel, avec des rayons de soleil qui rehaussent les couleurs :


Derniers bains dans les superbes piscines de l'hôtel, avant notre départ :


Annabel au bar de la piscine

Cottages de l'hôtel



Annabel a repris ses cours depuis hier et continue aujourd’hui, même si nous sommes dimanche. Elle a un bureau juste sur la terrasse, en face de la mer.


Je m’étais agréablement installée dans une chaise longue, en face de la mer, dans notre nouvelle habitation, en cette fin de dimanche quand, petit à petit, j’ai senti que mon corps tout entier était la proie de mosquitos invisibles et néanmoins acharnés ! Moi qui me vantais de ne jamais me faire piquer par ces bêtes sanguinaires, ici, apparemment, je suis à leur goût. Alors je me réfugie à l’intérieur du bungalow, laissant Annabel se faire manger toute seule. Je n’ai pas vérifié le contenu de la bouteille de citronnelle et elle est vide : courage, fuyons !
Allez, encore 2 photos de la nymphe, pour la route :


Une définition du paradis ? C'est ici !
Je vous développerai l'envers du décor une autre fois ... continuons de rêver !

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