Me voici en route
pour Puerto Esparanza (10.000hab),à la rencontre de Edgardo Doberstein
(d'origine polonaise comme beaucoup d’habitants de la province)
Il travaille à la télévision argentine, programme régional de Misiones.
Marié avec Olga
(professeur d’école), une fille Camilla 8ans et Nico 2 ans
Nico commence seulement à parler et sait dire 3 mots :
papi, parapente, paramoteur.
Nico commence seulement à parler et sait dire 3 mots :
papi, parapente, paramoteur.
Edgardo est connu
comme le loup blanc avec sa position à la Télévision et son hobby.
Nous volons
ensemble depuis le terrain (piste d’aérodrome) situé à 300m de sa maison.
C’est le seul terrain utilisable près d’Iguazu sans être en infraction de survoler le parc national.
Aussi Jorge vient nous rejoindre et vole avec nous.
Edgardo m’organise un interview à la télévision où je baragouine en espagnol et vous épargnerai donc la version audio !
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| Edgardo sous sa voile Boxer |
C’est le seul terrain utilisable près d’Iguazu sans être en infraction de survoler le parc national.
Aussi Jorge vient nous rejoindre et vole avec nous.
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| Jorge avec mon chapka style Blériot |
Edgardo m’organise un interview à la télévision où je baragouine en espagnol et vous épargnerai donc la version audio !
Je sympathise avec Walter et Maria, les proprio du commerce en face duquel je gare Leonce, et leur fais une photo aérienne.
Invité le soir pour un
assado de dorado!
Nous prévoyons d'aller avec Edgardo à la rencontre de paramotoristes organisée le WE prochain au Paraguay. En attendant, je vole et fais des photos aériennes du coin.
Nous partons
vendredi soir sur Puerto Iguazu, souper chez Jorge qui nous attend avec une
parilla de Pacu, mon poisson préféré. !
Samedi matin nous partons à l’aube pour passer les 2 frontières (Brésil et Paraguay) en direction de San Alberto.
Samedi matin nous partons à l’aube pour passer les 2 frontières (Brésil et Paraguay) en direction de San Alberto.
La rencontre est
chaleureuse, 22 pilotes qui se retrouvent pour comparer leurs machines, leurs
voiles.
J’ai incontestablement le premier prix du paramoteur le plus sale alors qu’ils exhibent tous le dernier cri ou innovation.
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| en enfilade, les 22 paramoteurs |
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| le ballet des parapentes |
J’ai incontestablement le premier prix du paramoteur le plus sale alors qu’ils exhibent tous le dernier cri ou innovation.
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| Devinez où mon paramoteur trône ?!! |
Samedi la météo
est parfaite et nous volons ensemble.
Le soir, un repas
accompagné de chants
et où l’on me demande de projeter quelques photos de mon voyage en Amérique du Sud ainsi que les meilleures photos de l’association « des ailes et des hommes » et comme surprise, j’ai droit à la chanson « feliz compleanos » :56 ans déjà.
et où l’on me demande de projeter quelques photos de mon voyage en Amérique du Sud ainsi que les meilleures photos de l’association « des ailes et des hommes » et comme surprise, j’ai droit à la chanson « feliz compleanos » :56 ans déjà.
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| Mario (au centre) me remet le trophée de participation alors qu'on me chante: "Happy Birthday..." |
Dimanche,
beaucoup de vent et nous rentrons vers 16h pour éviter de rouler la nuit car j’ai
un court-circuit sur les feux arrières de Leonce.
A l’arrivée Walter, Maria et Kevin, les propriétaires du magasin de victuailles en face duquel je dors acceptent mon invitation dans Leonce pour fêter mon grand âge : spaghetti bolognaise !
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| Kevin, Maria et Walter |
A l’arrivée Walter, Maria et Kevin, les propriétaires du magasin de victuailles en face duquel je dors acceptent mon invitation dans Leonce pour fêter mon grand âge : spaghetti bolognaise !
Nouvel interview
ce lundi matin avec un article qui devrait paraître d’ici 2 semaines…
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| Olga, Nico et moi |
Les adieux sont émouvants et Camille m'invite à son anniversaire le 24août.
Demain je repars vers Posada...
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